Par Fredrick Mugira

Quand le President Ougandais Yoweri Museveni a prolongé le confinement national pour freiner la propagation du coronavirus aux  21 jours en Avril, Joyce Burungi, une  femme  au foyer à  Kacerere, Bisya, dans un district montagneux de Buhweju, est devenue incertaine.

 Elle avait fini les contraceptifs oraux qu’elle prends  chaque jour pour prevenir  d’être enceinte . Birungi pensait qu’après 14 jours initial du confinement elle voyagerait; environ 30 kilomètres de chez elle sur le taxi motocyclette, pour achèter autres  comprimés  à la pharmacie, mais hélas, le confinement a été prolongé pour 21 jours.

Le seul alternative était de s’abstenir. Mais son mari ne voulait pas.

“ Parfois il me frappait pour avoir refuser de faire les relations sexuelles,” raconte Birungi qui a noté , “ mais j’ai persévéré. C’etait mieux que  concevoir  et mettre au monde notre sixième enfant.”

Birungi, agée de 35, dit que ce n’était pas facile de satisfaire les besoins de 5 enfants et ils ne pouvaient pas ajouter un  autre.

Incertaine de quoi faire, Birungi a demandé les conseils quelques femmes dans la village qui lui ont conseillé d’appeler l’organisation EPHWOR, une organization non- gouvernementale dirigée par les femmes pour demander l’assistance.

Les femmes avaient vu le personnel de cet organization à la télévision locale. Heuresement elles avaient noté leur numéros de telephone.

Birungi a finalement appellée l’organisation. Le lendemain de l’appel, le personnel de l’organisation est venu  à sa village et lui a donné des  pilules contraceptifs pour deux mois.

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Sept millions des grossesse non désirées

Si Birungi n’avait pas reçu cet assistance, elle aurait pu probablement tombé enceinte sans le vouloir, le mettant parmis les “ 7 millions des grossesses  non- planifiée” que l’agence Onusienne de la population UNFPA “ attend,” si le confinement est prolongé pour 6 mois et  S’Il ya aurait la perturbation majeure des services à cause du COVID-19”

Mais, maintenant elle est parmis les 300 femmes du huits districts dans Sud Ouest de L’ Ouganda que EPHWOR, aussi connu come Le renforcement des Droit des Malades et agents de santé, a sauvé  des grossesses non désirées pendant le confinement du COVID-19.

Les femmes viennent des districts de Mbarara, Ibanda, Buhweju, Sheema, Isingiro,Rwampara, Kiruhura et Kazo.

EPHWOR a debuté ses activités  en 2017. Depuis lors elle a intervenue dans les programmes de plaidoyer pour les femmes, la santé et droits de reproduction sexuelle, et les droits des malades dans les milieu ruraux et urbaines Ougandais.

Dr. Aruho Amon Kategaya, le consultant en medecine et la santé reproductive à EPHWOR dit, cet initiative ,” previendra les femmes de tomber enceinte au hasard au moment où l’Ouganda fait des progress au taux de prévalence des contraceptifs. ”

La taux de fecondité de l’ Ouganda en 2020 est à 4,78 naissances par femme.

Explosion démographique

 Les femmes et les filles adolescents qui utilisent les methodes de planification familiale en Ouganda et plusieurs pays en voie de developpement  à cause du confinement du COVID-19 ils n’ont pas accès aux contraceptif facilement. Ceci a été empiré par l’interdiction du transport local, qui poussent la plupart d’eux à marcher des dizaines des kilometres aux centre de santés, clinique et pharmacies pour trouver les contraceptifs.

Le situation a été  compliquée par la cloture du programme de planning familial que Reproductive Health Uganda ( RHU)  fournissait à cause du pandemie de COVID-19.

Dr. Kenneth Buyinza , gérant des services des Clinique à RHU a dit  à New Vision recemment qu’ ils ont suspendu tous les programmes de sensibilisation parce qu’on ne pouvait pas “ observer quatres metres d’ éloignement sociale avec beaucoup de clients.”

Le Drecteur de l’Hopital Regional de reference de Mbarara, Dr. Therestine Barigye dit  que  même si quelques mères continuent  visiter   son hospital pour avoir accès aux services de planification familiale, le manque des moyens de transport pour arriver aux centres de santé et hopital pourrait affecter “ plusieurs femmes et filles,” et les mettre à risques de mettre au monde,” plus d’enfants.”

“ Vous pouvez l’appeler  le baby-boom,” raconte Dr. Barigye, qui a noté que, “ car les gens sont à la maison. Vous pouvez imaginer ce qui se passe quand ils vivent ensemble.”

Dr. Barigye projette un pic de nombre des bébés qui seront nés dans la région Sud Ouest du pays neuf mois dès maintenant suite du confinement de COVID-19.

Le mois dernier, l’archevêque de l’eglise d’Ouganda, Stephen Kazimba , a averti les femmes qu’elles pourraient tomber enceinte durant le confinement et les a conseillé de ne pas oublier  d’utiliser les contraceptifs.

“Ces hommes sont à la maison; ils mangent et font des choses. Faites attention,”  remarque Dr. Kazimba dans une evangelisation télévisée depuis sa maison à Kampala.

Les 45.7 million de la population Ougandaise qui est projeté  à 103.5 millions en 2060 sur juste 241,037 k m²

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Une fardeau pour les familles qui ont peu de ressources.

Un enfant additionel pour la famille, particulièrement né par hazard, egoutte les ressources de la famille comme la croissance de la population provoque les impacts negatives sur les ressources nationales.

Wilson Twamubahakwa Kadid, le conseiller economique au ministère de la finance at la plannification et le developpement economique dit, l’augmentation particulièrement de la population inactive est “ une fardeau sur le peu de resources du gouvernement ou des familles,”

“ La croissance de la population met la pression sur les ressources publiques ou ceux des familles  car le gouvernment doit  planifier pour la population additionnel,” il note.

Le situation est même pire  en Ouganda rural, ou plusieurs femmes depend sur la planification familiale pour atténuer les effets de la pauvrété quand on a une grande famille.

Aider les femmes vivant avec le VIH  à avoir access aux medicaments

EPHWOR n’offre pas seulement les services gratuits de la planification familiale. Selon Dr. Aruho, elle est aussi  engagé dans  le “  la distribution mensuel des  ARVs, medicaments de cancer et autrès soins medicaux aux femme et filles  vulnerable  dans ces huits districts.”

En partenariat avec des etablissemnts  de santé publique comme Hopital Regional de Mbarara, Le centre de santé de municipalité de Mbarara; Centre de Santé de Ruhoko quatre et le Centre de Santé Nsika entre autres, EPHWOR a pu accédé les medicaments gratuits et le registre des patients pour la suivi et distribution.

Pour les autrès medicaments rare aux centres de santé et hopitaux publiques, EPHWOR les achète par son propre argent  pour les delivrer aux femmes à temps.

Dr. Aruho se lamente que la population qui souffre des maladies chroniques y compris  le cancer, SIDA , diabètes, et autrès qui ont besoin de refaire plein  des medicaments qui ont été negligé au pays pendant le confinement du COVID-19.

Pandant les deux mois de confinement, l’organisation a aidé 40 femmes d’avoir access aux medicaments gratuits de VIH/SIDA. Cent autrès femmes ont beneficié des medicaments gratuits de diabètes  et hypertension. Ils ont aussi offert 1500 kilogrammes du farine des maïs aux quelques femmes qui ne sont pas capable de s’acheter la nourriture. Plus de 10 millions des shillings ( 2,700 USD) ont été depensé sur cet initiative par l’organisation.

Dr. Aruho dit que il n y aura jamais un bon temps d’aider ces femmes rurales comme celle ci.

Ce projet de reportage geré par InfoNile a été soutenu par Le Pulitzer Center  on Crisis Reporting et le National Geographic Society.