Par George Achia
Rose Akeyo agée de 38 ans trouvait déjà difficilement assez de l’eau pour l’usage domestique pendant le confinement du COVID-19 quand le glissement de terrain a endomagé les tuyaux de l’ eau qui approvisionait l’eau à coté de sa maison à Nairobi dans le bidonville de Kawangare.
Les fortes pluies dans la saison pluviale du Mars- Avril ont emporté les principaux tuyaux d’eau à travers les forêts dans les montagnes d’Aberdare au Nord de la capital du Kenya au début du Mai.
Peu après, La compagnie de l‘eau de la ville de Nairobi ( NCWSC) a fermé son principal usine de traitement de l’eau à Ng’ethu.
Avec Sasumua Dam treatment, les deux usines de traitement approvisionaient 96,6 pourcent de l’eau utilisé par les habitants de Nairobi, Ng’ethu compte 85 pourcent et Sasumua 11,6 pourcent.
Maintenant une grande partie de Nairobi, de ses bidonvilles aux banlieux hippés, font face à peu ou manque d’approvisionnement en eau.
Cala provient au moment où le gouvernement conseille la population à rester à la maison, se laver les mains et respecter l’hygiene général pour stopper la propagation du COVID-19.
L’agence onusienne de la Santé OMS et Le ministère de la Santé du Kenya conseillent le lavage des mains avec l’eau courante avec du savon comme primordial dans la lutte contre le virus.
Or, la recherche de l’eau par la population à revenue faible ne respected pas la distantiation sociale, car le peuple tende à se regrouper en foule aux points d’eau les exposants de contracter le COVID-19.
Un mois après l’interruption de l’approvisionnement en l’eau dans la ville, la penurie actuelle de l’eau à Nairobi va continuer.
“ Est-ce que nous allons faire face au penurie de l’ eau ou le coronavirus? Comment pouvons nous survivre sans eau quand on nous dit de nous laver les mains?” a demandé Rose Okeyo, une mère de 3 enfants.
Dans an endroit peri-urbain environnant la ville de Ngong, au comté de Kajiado, la situation est la même.
La distribution de l’eau du comté dans la localité est instable. Cette approvisionement irregulière pousse la population à chercher leur propre moyen de trouver de l’eau.
Selon le Directeur Général du NCWSC Eng. Nahashon Muguna, les localités approvisionées par l’Usine de traitement de Sasumua continueront faire face aux problèmes d’eau pendant trois semaines additionnel avant que les nouveaux tuyeaus de l’eau trouvent une nouvelle voie qui n’est pas affectée par les glissements de terrain.
Il a rejeté les allegations concernant les cartels qui devieraient de l’eau de la compagnie pour vendre aux habitants qu’ils seraient reponsables pour la penurie d’eau “artificielle” à Nairobi.
“ Ce n’est pas possible de devier de l’eau depuis nos lignes car l’approvisionnement de l’eau en ville est un réseau intégré qui n’est pas facile à intercepter,” il a declaré.
Cependant, un couple qui habite à Ngong raconte une autrès histoire.
Daniel Mutinda et Dorcus Mutinda savaient qu’il y avait un autrès moyen pour leur famille d’avoir accès à l’eau sans payer excès d’argent aux vendeurs de l’eau ou par marcher pour puiser de l’eau dans l’etang.
Le couple a reçu un micro-crédit à travers l’initiative financière du Water-Credit lancée par l’organisation sans but lucrative Water.org pour acheter réservoir d’eau pour stocker l’eau de la pluie. Maintenant ils peuvent stocker de l’eau dans la saison des pluies et l’utiliser pendant longtemps après la fin du saison de pluie.
“Le citerne donne l’eau amelioré à ma famille. Cela a amelioré l’hygiène dans ma famille par le lavage des mains pendant cette crise,” dit Daniel.
Il a financé la solution abordable pour le problème de l’eau dans sa famille. Pour ksh. 2,000 ( $ 18.80) par mois, Daniel a acheté les deux citernes pour sa famille.
Dans moins de 36 mois, il remboursera son crédit.
Comme Daniel, Patricia Kihumbu est contente. Avec le travail dur, la mère de trois enfants qui est agée de 53 ans a amenagé un champ où il cultive les cultures locales come maïs, haricots, oignon, sorgho et arachides.
Quand elle n’est pas au jardin ou nourrir les animaux, Patricia passe son temps dans une des secrétariats de sa groupe d’entraide. Cette groupe composée par ses voisins dans sa village fourni un environement d’aide financière aux membres.
Les membres mettent leur ressources ensemble dans leur compte bancaire qu’ils peuvent utiliser comme garantie si c’est necessaire.
Au cours d’une réunion recente, le groupe d’entraide a identifié l’acces à l’eau comme un grand problème dans leurs menages. Elles ont reconnu que le temps passé pour puiser d l’eau domine la plupart des activités quotidien en plus c’est un fardeau dans la saison sèche.
Kihumbu personellement passe deux heures chaque jour pour marcher de et à la source d’eau pour puiser d’eau pour sa famille.
C’est à travers la Banque Equity que Kihumbu et ses collegues et membres du groupe d’entraide ont appris qu’elles pouraient demandé un prêt bancaire pour acheter des solutions d’eau qu’elles ont besoin. Le groupe a determiné que ceci etait une solution pour leurs besoin d’eau et ont reçu un crédit. La part de Kihumbu au credit a été ajouté au Ksh 25,000 ( $240).
“ J’ai utilisé l’argent pour acheter trois reservoirs d’eau . Maintenant j’ai assez d’eau pour nourrir mon bétail, arroser le jardin et usage domestiques,” a declaré.
Penurie d’eau au Kenya
L’eau et l’assainissement ont été reconnue comme principaux moteurs du development durable, un bien de droit de l’homme et un resource indispendable pour la survie humaine.
L’ objectif 6 de Developpemnt Durable vise à disponibiliser l’eau potable et assainissement pour tous en 2030.
Or, beacoup de gens dans le monde n’ont pas encore accès à l’eau potable et l’assainissement.
L’eau potable, toilette de base et des bon pratiques d’hygiene sont aussi essentielles pour prévenir la propagation des maladies pendant la pandémie du COVID-19.
Dans le Monde, il ya environ 2,4 milliard des personnes qui n’utilisent pas l’assainissemnt amelioré, et 663 millions qui n’ont pas accès aux sources d’eau ameliorés, selon l’OMS.
Kenya est toujours un pays où l’eau est rare avec le faible taux de réalimentation d’eau naturel.
Selon, le rapport de 2019 du WASH publié conjointement par OMS et UNICEF seulement 59 pourcent ont accès aux services de base de l’eau et seulement 29 pourcent ont accès aux services sanitaire.
Cela constitue un defie majeur de la santé pour la population spécialement les enfants qui n’ont pas accès à ses services à cause des difficultés financières.
La penurie d’eau du Kenya remonte plusieurs années auparavant
Selon the Water Project, une organisation qui approvisionne en l’eau aux communautés en Afrique Sub-Saherienne, la penurie d’eau au Kenya a été un problem depuis des decenies.
“ Les resources naturelles d’eau du Kenya ne fournisse pas la distribution de l’eau equilibré aux differend regions du pays. Par consequent la plupart de la population n’a pas d’eau douce,” note l’organisation .
Le changement climatique impacte les ressources d’eau du pays en affectant le cycle d’eau, modifiant le montant, distribution, le calendrier, et la qualité de l’eau disponible. En même temps , ceux qui utilisent de l’eau y compris les communautés, animaux, industries sont affectés: leurs activités et fonctions depend directement ou indirectemnt sur l’eau.
A travers le Kenya, après une decenie d’avance aux sources d’eau ameliorés, l’accès d’eau national a chutté de 75 pourcent de l’estimation des menages qui ont accès à l’eau à boire amelioré en 2015 au chiffre du recensement national de 65 pourcent en 2019.
The Water Project a pointé que l’urbanisation rapide a poussé les habitants des millieux urbain dans les bidonvilles, où il n’ya pas de l’eau potable ou assainissement, et le surpeuplement aggrave les conditions sanitaire déjà dangereux.
Dans les villes, le pourcentage des menages qui utilisent les services de l’eau potable à boire ont baissé de 2000 à 2017, plus de personnes- en particulier les menages les plus pauvres- qui dependent sur les vendeurs d’eau et l’eau de surface tels que les rivières, ruisseaux et lacs, selon les données du Programme conjoint de Monitoring pour l’approvisionnement en eau et assainissement.
Cela augmente la propagation du COVID-19 parmis les habitants.
Au 15 Juin, Le Kenya a enregistré 3,727 cas confirmés à travers le pays, 1,286 retablis et 104 decès.
Les cas initiaux ont été rapporté à Nairobi et dans la region cotière du Comté de Mombasa au mois de Mars. Les deux comtés ont enregistrés plus des cas confirmés à 1,691 et 1,097, respectivement.
Patrick Alubbe, le directeur executif du Kenya Water for Health Organisation ( KWAHO), a maintenu que la penurie de l’eau au pays est causé par le rationement, car l’ineficiences sont causés par la croissance de la population.
“ environ 40 pourcent de la population urbaine vit dans les milieux des faible revenus. En considerant le taux de croissance rapide, approvisionement des services de l ‘eau dans ces millieux restera le plus grand défi du secteur de l’eau au Kenya pendant les decenies avenir, ” a dit Alubbe.
Au comté de Kajiado, 66 pourcent des ménages avait accès aux sources d’eau ameliorés en 2019, y compris l’eau du robinet, forages et l’eau embouteillé. Cependant, 23 pourcent toujours dependent sur les vendeurs d’eau et 9 pourcent sur l’eau insalubre tels que les rivières et ruisseaux.
Alubbe a remarqué que le manqué d’accès à l’eau potable et abordable pourrait aller contre les efforts de freiner la propagation du COVID-19, car le lavage des mains avec un savon a été identifié parmi les mesures barrière de lutte contre le COVID-19.
Il y a quatre ans, seulement 31 pourcent des ménages au comté de Kajiado avait un lieu de laver les mains, un peu au dessus du moyenne nationale de 21 pourcent, selon le recencement des revenues des menages de 2015-2016. Dans le comté de la ville Nairobi, toujours moins des menages- 44 pourcent avait designé un lieu de lavage des mains.
Il a dit que les maladies liées à l’eau et l’assainissement tels que la diarrhée; explosion demographique causée par l’exode rural; le manqué d’accès equitable aux infrastractures d’eau et d’assainissement sont parmi les defies fondamentaux que les communautés vulnerables font face.
“ les reponses immédiat et la coordination entre tous les acteurs ont dans le passé aidé à gérer les maladies infectieuses dans les milieux où il ya les problèmes d’eau,” a declaré.
Ces problemes constituents une menace sur les communautés vulnerables qui n’ont pas l’accès à l’eau et l’assainissement pour lutter contre le COVID-19.
WaterCredit: Accorder les micro-crédits pour promouvoir l’accès à l’eau et l’assainissement
Pour aider à resoudre ces problemes, differents acteurs dans la distribution de l’eau et l’assinissement sont entrain d’innover holistiquement pour améliorer l’accès à l’eau et l’assainissement pour la population qui en ont besoin d’urgence.
L’un de ces innovations c’est le Water.org à travers un modèle qui inclus les institutions financières au Kenya, Ouganda et Ethiopie, l’ initiative de Water Credit dirigé par Water.org est de briser les barrieres financiers pour les familles comme celle de Daniel Mutinda afin de les faciliter à avoir accès aux finances necessaire pour les solutions d’eau et d’assainissement domestique pour ceuxi qui vivent dans la pauvrété.
Selon Anthony Githinji, directeur principal des programes à Water.org, l’un des barrieres majeurs à l’accès à l’eau potable et l’assainissement est le financement abordable.
“ Nous avons créé l’initiative WaterCredit pour resoudre ce problème,” a dit Githinji
WaterCredit facilite l’octroi des micro-crédits à ceux qui en ont besoin pour acceder aux financement abordable afin de faire les solutions menagères d l’eau et l’assainissement une réalité.
Par exemple, Daniel, l’habitant de Ngong, a obtenu un micro-credit à Equity Bank à travers l’initiative pour acheter son réservoir d’eau.
Un prêt moyen au Kenya basé sur le projet et l’evaluation des besoins du béneficiaire est de ksh 40,000( $376), varie d’un tuyeau d’eau qui coûte environ ksh 10,000 ( $ 94) et le forage qui coûte aussi élevé que ksh. 1 million ( $ 9,410).
Water.org a collaboré avec les institutions de micro-finance et banques aucours de 15 ans en developpant et accordant les produits des credits aux communauté pauvres au Kenya, Ouganda et Ethiopie.
Water.org a mobilisé le capital à travers les partenaires frinanciers pour WSS financement jusqu’a ksh. 26 milliard ( $ 244 millions) au Kenya.
Jusqu’à present cet approche a facilité plus de 3,9 millions Kenyans dans les milieux ruraux et peri-urbains des 47 comté au Kenya à travers les plateformes des partenaires du projet pour accès aux infrastictures de l’eau potable et assainissement améliorés pour freiner la propagation du COVID-19 et assurer le bien-être dans les milieux où les gens ont accès difficilement à l’eau potable. En plus, les prêts ont aidé les beneficiaires à booster les micro entreprises et les activités agricoles afin d’améliorer leur subsistence.
Les installations de l’eau et assainissement dans ce model y compris les besoins domestiques tels que les toilettes, qui varient entre les latrines simple et VIP, fosses sceptique et connection aux egouts. Concernant l’eau, les investissements y compris les connections des tuyeaux, recolte de l’eau de la pluie, puits et forages.
“ Chez Water.org, nous focalisons sur les solutions orientés vers le marché pour transformer les vies et metre fin à la crise mondial de l’eau,” a dit Githinji.
Ceci demontre le potential que les solutions orienté vers les finances ont pour transformer le paysage pour l’eau et l’assainissemnt et accès en Afrique si plus d’acteurs de la sectuer privé s’y intéresserait, selon l’equipe.
Selon Githinji, actuellement plus de 3,9 million des gens au Kenya peuvent tourner les robinets et utiliser une toilette parce que, micro-credit abordable ont habilité les communautés pauvres pour avoir accès à l’eau potable et assainissement dans leur menages qui est devenu essential pendan la pandémie du COVID-19.
Cet initiative a fait face aux defis aussi.
Un des defis était que leur partenaires fiancières n’avaient pas les compétences techniques WASH pour executer l’initiative efficacement, a dit Githinj.
Il a ajouté que “ quelque partenaires financiers voulaient realiser le projet particulièrement l’assainissement car ll etait perçu comme n’etant pas un viable produit. ”
Il a exhorté les acteurs dans l’eau et l’assinissement y compris le secteur privé à explorer et adopter quelques solutions innovatives pour les defis actuels des ressources d’eau et aider à les metre disponible pour la population qui n’en a pa.
Ce reportage a été produit en partenariat avec InfoNILE , le soutien du Code for Africa, et le financement du Pulitzer Centre et le National Geographic Society. Le reportage et l’édition supplémentaire par Annika McGinnis et Fredrick Mugira. Cet article a été initialement publié dans ScienceAfrica.